lunes, 3 de febrero de 2020

Les îles Malouines et le Brexit, le nouvel horizon qui apparaît à partir du 1 février 2020


Les îles Malouines et le Brexit

Le 31 janvier 2020 se produira la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union européenne, après plus de trois ans de marches et de contremarches depuis le 23 juin 2016, le jour dans lequel le référendum a été réalisé et par une marge minuscule, les calculs finaux ont donné 51,9 % par l'abandon de l'Union européenne et 48,1 % par la permanence dans la même, les britanniques ont choisi se séparer de l'Europe, au-delà de la frontière physique qui représente la Manche.
Et l'impact dans ses colonies comme les Malouines et Gibraltar déjà s'était explimé dans ces mois de 2016, particulièrement en matière des tarifs et de marchés en général avec le Vieux Continent.
Dans le cas des Malouines, 40 % du PIB des îles proviennent de la pêche et 94 % sont exportés vers l’Europe, avec des tarifs subventionnés, pour être tenu en compte comme marché-part de la Grande-Bretagne.
Comme l’un des conséquences du Brexit, le bilan exportateur insulaire va changer considérablement pour la perte du tarif 0 % sur les produits de la pêche qui entrent dans l'Europe. Et le plus important, 90 % des exportations au Vieux Continent sont ceux qui dans les graphiques se considèrent comme “Fishery/Primary products”.
De nouveaux accords transactionnels devront se réussir dès que les accords commerciaux prescrivent avec le bloc européen après la decisión de n'être plus membre du même, quelque chose qui dépasse la capacité de négociation du gouvernement de facto des îles; ayant le pouvoir d'émettre des permis de pêche il est essentiel d'avoir au même temps un marché où ces franchisés peuvent placer sa production de la pêche, et dans ce dernier cas ils dépendent entièrement de ce que le gouvernement britannique fait à partir du 1 février.


À partir du 1 février 2020, comme une conséquence connexe au Brexit, la situation géopolitique des îles à l'égard du monde, et en particulier avec l'Argentine, change remarquablement, et cela le Ministère argentin des Affaires étrangères doit l'étudier très consciencieusement, doit chercher les avenues d'approximation pour que la Grande-Bretagne s'approche sur la table de négociations sur la question de la souveraineté des îles, en faisant un équilibre devant la nouvelle scène à partir des mesures qu'il estime réaliser, même ce de la rétorsion que ébranlent les revenus des îles touchés par la pêche et le tourisme, moins ressources obtenus par les îles, plus de dépenses pour la Grande-Bretagne, qui a des restrictions budgétaires dans la métropole et le Brexit les sensibilisera encore plus. Il faudra voir jusqu'à quel point les ressortissants de la couronne britannique acceptent de financer des bastions lointains et inconnus en ajustant ses propres ceintures.
Et l'Argentine, ayant un territoire insulaire usurpé, doit recommencer à mettre sur la table de discussion nationale comme politique d'État l'instrument militaire nécessaire qui accompagne en tándem à la diplomatie.
Un nouveau panneau d'échecs apparaît, avec les mêmes joueurs, mais avec un changement de règles, gagnera celui qui est plus attentif, celui qui est plus prudent.

Lic. Hernán Favier, le 25 janvier 2020